La ligue des Droits de l'Homme

Créée en 1898 avec l’affaire Dreyfus, la LDH a une longue tradition de défense des droits de tous les citoyen-ne-s. De nombreux intellectuels ont participé à ses combats depuis sa création.

La LDH vit au quotidien par ses sections; les sections locales proches (St Denis Plaine Commune et Paris 18è) déjà très impliquées dans la vie locale de leur territoire, seront présentes le campus, soutenues par les sections existant d’ores et déjà dans certains établissements membres du Campus (Section EHESS, Section de Paris Nanterre).Ces sections locales interviennent dans de nombreux domaines: droit des étrangers, droit aulogement, éducation aux droits, ciné-débats avec les cinémas de leur territoire ou débats avec les théâtres voisins (La Belle Etoile, TGP par exemple).

La LDH est partenaire de plusieurs observatoires (et parfois à l’origine de leur création), tels:* l’Observatoire de la liberté de création, * l’Observatoire des libertés publiques (à Paris) et * l’Observatoire des pratiques policières (en Seine Saint Denis) qui pourront également être présents sur le campus autour de rencontres thématiques.La LDH compte également de nombreux groupes de travail dont on peut retrouver la liste sur le site national www.ldh-france.org.

Elle organise tous les ans une Université d’automne qui sollicite les interventions de nombreux enseignants-chercheurs, chercheurs, doctorants, etc.

En ce qui concerne la permanence prévue sur le Campus, elle permettra à la fois d’informer les personnels du Campus sur leurs droits, de répondre à leurs questions mais également de leur faire connaître les activités de la LDH. Les étudiants sont très régulièrement demandeurs d’informations auprès de nos sections, en particulier en matière de droit des étrangers, droit d’asile, droits des mineurs étrangers isolés. Une sensibilisation à ces thématiques pourra être organisée.

Enfin, la LDH dispose d’un certain nombre d’expositions qu’elle pourra également mettre à disposition pour animer des espaces du Campus, sans oublier le projet d’ateliers de conversation pour réfugiés et étrangers, membres du Campus ou riverains.